Akiim ( Stall') Lisa

Tranquillement, j'arrive dans l'allée.


*Je doit avoir Akiim... Probablement un etalon...*


J'arrive devant le box d'Akiim.


*C'est lui... Un étalon ! Magnifique...*


Je claque la lanque.


- Coucou Akiim ! Sa va ? Tu es magnifique !

Akiim se retourne violement en montrant les dents.


- Ola ! Voyons, je ne vais pas te faire de mal !


Il pousse un hennissement strident et se cabre. De ses antérieurs, il
frappe dans la porte et enchaine sur une ruade dans le ratelier.
Surprise, je fait un bond en arrière, manquant de renvrser une boîte de
pansage et tombant sur un ballot de foin.


- Ouf ! Tu m'as fait drôlement peur !

Il s'est radoucit et machonne tranquillemnt son foin. Ses oreills
sont aux aguets. Tous ses muscles sont tendus à en éclater ! Doucement,
je lui carresse le bout du nez. Il se détend lentement mais, surement !


- Voilà...

Je prend son licol accroché à un crochet sur la porte du box. Un
licol en cuir, avec une longe en chine. La seule d l'écurie.
Tendue, j'ouvre doucement la porte du box. J'essaye de paraitre
tranquille pour tromper mon cheval, qu'il s détende. J'essaye de lui
mettre le licol. Il recule jusqu'a se cogner contre le mur du box. Là,
je réussis a lui passer rapidement le licol. Je le sort prudement du
box en rgardant si une autre personne était là. Non, personne. la porte
de l'écurie est grande ouverte. C'est bien ma veine, si il s'échappe,
je suis cuite... Mais non, il me suis tranquillemùent. Je vais hors de
l'allée sur un carré d'herbe pour le laisser brouter.


Je le laisse brouter tranquillement.





*******************





Je le rentre dans son box et lui enleve le licol. Je prend soins de refermer soigneusement les loquets.


- Aller mon beau, je reviens !


J'ai un peut peur de ce cheval si... imprésionnant. Je quitte l'écurie à vive allure pour m'asseoir sur un banc à part.

+ 4 Réalisme

Ce matin là, je m'était réveillée très tôt, pour réviser a fond mes devoir d'éthologie. Et oui, pendant plusieurs année, j'ai été formée en éthologie et j'avais dans la tête, l'idée que cela me servirait surement pour Akiim. Ensuite, je m'était précipitée aux écuries pour le retrouver.

J'entre dans les écuries et me dirig vers l'allée des peuliers. Je m'arrête devant le box de mon étalon, pensive. Comment vais-je l'aborder ? Je décide de m'assoir sur une botte de foin et de contempler le sol. Mossion réussi, il 'est pas inquiet de ma présence, même si j'ai, du coin de l'oeil vu qu'il m'avait aperçut. Je sort de ma poche un morceau de carotte pour qu'il s'approche. Déjà, il la sent et approche la tête, intrigué. Alors, je me lève et m'appuit contre la porte du box. Instinctivement, il recule en roulant des yeux effrayés. Quand il se calme, j'ouvre doucement la porte du box et avance d'un pas.
D'un coup, il change. Furieusement, il se cabr en hennissant et en donnant des coups de sabots, les yeux roulant de terreur, les naseaux dillatés et les oreilles plaquées. Directement, je sort du box et referme la porte, regardant le sol. Je le laisse se calmer de lui même et quand c'est le cas, je rouvre la porte mais ne bouge pas. Alors, même cinéma. Je ferme les yeux et baisse la tête. Je n'avance pas : Ce sont les prédateurs qui fonçent tout droit. Doucement, il se calme mais reste loin de moi. Alors, doucement, je tend ma main vers lui avec la morceau de carotte dan le creux de ma paume. Méfiant, il me regarde sans approché mais, trop tenté, il finit par happer d'un coup bref le morceau. J'en profite pour lui carresser le chanfrein doucement.

- Bien...

La tête baissée, je le contourne en gardant une main sur son dos. Je m'arrête au niveau du deuxieme flanc et je commence a le carresser sur tout le corps. Je le sens déjà se détendre. Alors, je lui donne un autre morceau de carotte qu'il avale goulument.

- Tiend gourmand !

J'attrappe un licol et le lui présente. Automatiquement, il fait un écarte, les oreilles couchées. Alors, je le contourne et me remet au nivea de son flanc. Je recommence à le carresser, comme si de rien n'était. Déjà, il commence à se détendre et à accepter que j'ai un licol à la main. Je prend le licol de l'autre main et continue à le carresser en introduisant le licol que je frotte sur son flanc. Prenant le licol comme quelque chose qui le carresse, il l'accepte.

- C'est bien mon joli !

Je lui donne un autre moceau de carotte qu'il attrappe délicatement. Je me retourne et approche le licol de sa tête, tout en continuant à le carresser avec l'objet. Je finit par l'effleurer avec sur la joue, sans qu'il ne bronche.

- C'est très bien !

J'ouvre doc le licol et le lui passe délicatement sur la tête. Il se tend maisje continue à le carresser, pour ne pas qu'il s'inquiete. Il a probablement dut être traumatisé pas le licol. J'emet donc une petite pression sur la longe pour qu'il avance et l'encourage de petite tapes sur la croupe. Doucement, il avance a mon rythme. Je le fais alors tourner dans son box.

- Bien mon joli !

Je l'arrête et lui donne un morceau de carotte, le dernier. Je lui enleve le licol et lui donne cette fois, plusieurs morceaux qu'il happe délicatement et un par un.

- Aller, c'est finit pour cette fois, repose toi.

Je sort du box et accroche le licol sur la porte du box, à sa portée. C'est un petit licol en toile qui ne risque rien et, j'ai prit soin de l'attacher à la porte qu'il ne puisdse pas le trimbalr partout.

+ 5 Réalisme !

Bravo'W !

[Merci !]

Deux heures après, après avoir fait un peut de ménage dans ma chambre, je revins voir mon p'tit ch'wal.
J'arrive dans l'allée et m'instale allongée sur la botte de foin, regardant le ciel. Intrigué, Akiim vient voir ce que je fais. Doucement, je me releve. Surprit, il secoue la tête. Je regarde le sol tout en m'approchant doucement de so bos pour ne pas l'effrayer. Il a beau me faire confiance, ça ne tiend qu'a un fil ! J'ouvre la porte et reste immobile, les yeux fermés. Il recule et hennis, montrant les dents. comme je ne réagis pas, il finit par se calmer. Je prend alors le licol et reste là ou je suis. Il tourne dans son box, la tête en l'air. J'entre alors en le contourant, et reste immobile dans son box, les yeux mis-clos. Je reste ainsi le temps qu'il se calme. Petit à petit, il se détend et s'arrête. Je m'approche alors de lui, les yeux ouverts mais le regard sur le côté, je le carresse sur le flanc, comme tout a l'heure. Doucement, je passe mes mains sur tout son corps. Petit à petit, j'introduit le licol que je passe sur son corps. Je le rapproche de sa tête, le carresse en même temps Il n'a toujours pas bronché. Alors, calmement, je lui passe le licol. Tout en le carressant, je le boucle.

- Lààààà... Voilà...

Je lui donne un petit bout de carotte et ouvre la porte en grand. d'une simple pression sur la longe, je le fait avancer.

- Aller, viens !

Il doit comprendre que je vais le faire travailler ! Au moindre petit bruit, coup de vent, il fait un cinéma. A un moment, un petit oiseau se pose sur une branche. Sautant sur l'occasion, il plaque ls oreilles et se cabre. Je garde les mains fixes pour le remettre à terre. Il redescent mais aussitôt, se recabre. Alors, je me souvient ce que l'on m'a toujours dit : Le cheval choisit toujours ce qui est le plus simple, le plus confortable. Ne lui obligez pas a faire quelque chose mais, faites n sorte que ce soit difficile pour lui de faire aurement.
Alors, une fois en l'air, le l'accompagne et, d'une simple pression sur la longe, l'oblige à rester perché. Au début, il bat des antérieurs en signe de vicoire. Puis, petit à petit, il fatigue et essaye de redescendre. Je l'en empeche et l'oblige à rester dans cette position. Quand il est vraiment fatigué, le l'autorise a redescendre. Il se remet sur quatres pieds et baisse la tête.

- Voilà ! Quand tu veux !

La prochaine fois, il sauras qu'il faut réfléchir avant d'agir, que ses bêtises l'ammennent à la contrainte. Je l'emmene alors sur un lieu d'entrainnement.

+ 4 Réalisme

Lisa avait eu de gros soucis scolaires. Au collège, les profs se plaignaient de son inatention et elle avait été punie, ce qui fait qu'elle n'avait pas put venir voir Akiim, son cheval arabe.
Ce jour là, elle s'était précipitée vers le haras, retrouver son étalon.

J'entre dans l'allée, à la fois exitée à l'idée de revoir mon cher Akiim et à la fois tendue. Et si il était redevenu aussi sauvage ? Naturellement, je me dirige vers la botte de foin posée devant le box du bel étalon. Je m'y allonge, la tête tournée vers un arbre, mais, surveillant Akiim du coin de l'oeil.
Il avait évidementremarqué ma présence, et commençait à s'agiter. Il tourne en rond et pousse des hennissements stridents. Moi, je ne bouge toujours pas et me met à sifflotter. Petit à petit, voyant que je ne bougeais toujhours pas, il se calme et me regarde, intrigué. Alors, moi, je sort de ma poche un morceau de sucre et tout doucement, me redresse. Attiré par le sucre, il frappe dans la porte de son box et henni.
Je me lève et, regardant le sol, me retourne vers lui, bougeant le morceau de sucre dans ma main. Voulant à tout prit avoir son sucre, il étend l'encolure et pousse la porte du box. En marchant doucement, je me dirige vers lui. Je lui tend du bout de la main la friandise. Il tend son encolure et, d'un coup sec, attrappe le morceau en mordant ma main en même temps. Malgré la douleur, je e sort aucun mot de ma bouche. Je prend alors une autre friandise dans ma poche et me rapproche encore du box, jusqu'a ce que je soit juste devant. Je lui tend encore la friandise. Comme tout à l'heure, il essaye de la chiper. Alors, je recule vivement ma main, tout en continuant à regarder le sol. Je répete l'oppération plusieurs fois. Petit à petit, i comprend que, moins il essaye de l'attrapper violement, plus elle met de temps à "disparaitre". Alors, délicatement, il attrappe du bout des lèvres le morceau de sucre, tout en m'observant du coin de l'oeil.

- Là.... Voilà, c'est bien mon beau !

De la main droite, je lui carresse le bout du nez et releve l'entement mes yeux. Surpris, il releve la tête et me regarde, méfiant. J'entre doucement dans son box et ferme les yeux. Machinalement, il recukle jusqu'a se cogner contre le mur. Moi, je ne bouge pas mais rouvre les yeux, en fixant intensément mes pieds. Petit à petit, et toujurs méfiant, il se rapproche à pas comptés. Enfin, juste devat moi, il s'arrête et me regarde de haut. Sans hésiter, j'avance en le contournant, en posant une main sur son dos. Il frémit mais ne bouge pas. Je reviens ensuite à ma position initiale. Je lève alors les yeux et regarde ses naseaux, jamais ses yeux. Je lui carresse le chanfrein et lui tapotte l'encolure.

- là, tout doux mon beau...

Je prend de la main gauche un licol qui est accroché devant son box. Tranquillement, je le lui présente.Il le reniffle, méfiant mais ne bouge pas, se rappellant l'avoir déjà mis. Alors, tranquillement et le plus délicatement possble, je le lui met et l'ajuste pas trop sérré pour ne pas qu'il s'affolle.

- Doucement Akiim...

Ensuite, je prend la longe et marche tranquillement, sans leregarder, en fixant devant moi. Il avance doucement, essayant de résister. D'un claquement de langue, je le remet en avant.

- là... En avant mon joli...

Pas content du tout, il pile net, pousse un hennissemnt strident et se cabre.

- Holà, doucement !

Toujours fidèle aux méthodes éthologiques, tout en gardant la longe en mains, le fait tourner sur lui même en e contournant, alors qu'il est perché sur ses postérieurs. Les hanches "bloquées", il résiste mais est obligé à force de suivre le mouvement pour ne pas être tordu. Il essaye de redescendre mais, je l'en empeche. Je lui ai déjà fait comprendre qu'il ne devait pas se cabrer, il recommence ! Alors j'utilse les grands moyens. Je l'oblige à rester en l'air, tête plaquée contre l'encolure et l'obligeant à reculer, en forme de soumission. Au moment précis ou il suit le mouvement, je lache la pression sur la longe. Automatiquement, il redescend.

- Là... Voilà...

Alors, tranquillement, je l dirige vers une aire d'entrainnement.