Insigna Desha (Jument) > Lucile

Nom : Insigna Desha

Sexe : Jument

Caractère : Insigna est une jument particulièrement capricieuse qui n'exécute que si elle en à envie . Elle est capable de s'arréter à tout moment si elle en à assez .

Point fort : Sa beauté incroyable

[ Bon alley, hop hop, je poste, marre d'attendre ]

Quand j'ouvris la porte du box, je m'arrêta net. Une magnifique jument baie m'attendait. Sur la porte, un écriteau portait le jolie de : " Insigna Dasha ". Humm ... Ca devrait être son nom. J'aimais bien ^^ Pour la séduire, j'ouvris doucement la porte de son box, et d'une voix flatteuse je dit :

" Insigna Dasha, bonjour "

Oui, pour gagner la confiance d'un cheval, il fallait le séduire, surtout les chevaux de shows. Je commençais dont par un premier approche, et restant calme, sur de moi, douce mais ferme. La jument me calcula d'un regard, me jugeant. Voyant qu'elle ne montrait aucun signe de défense - jusqu'a présent, du moins - j'entrais encore un peu plus dans son box, continuant mes douces paroles et les gestes lents. Je m'approcha encore un peu d'elle, l'abordant par la gauche, et je commença à caresser le haut de l'encolure et du dos. Je continua à faire connaissance avec elle et caressant après la croupe et les jambes. Pour le poitrail, non, c'eétait un niveau de familiarité beaucoup trop poussé. Je me recula, et admira la superbe bête que j'avais devant moi. Pour l'instant, elle n'avait pas réagit, aucun signe d'amitié ni d'agressivité.

Bon, j'imagine que je ne devais pas la monter maintenant. C'était beaucoup trop tôt ... Demain peut-être ? Mais avant, je voulais voir comment étaientt ses pieds, je m'approcha d'elle, glissa douement mon bras sur son antérieur, et voulut soulever son sabot. La jument plaqua ses oreilles et refusa catégoriquement de mon donner ses pieds. Pourquoi ? J'eu beau pousser son épaules pour la destabiliser, que dale. Rien. Nada. Je me relevais et plongeais mon regard dans son oeil, je décelais une lueur moqueuse, fière, et même provocant, un regard d'une jument qui sait ce qu'elle veut, le regard d'une jument intelligente, un regard d'une jument très frimeuse aussi. Ayant assez déchiffrer ce qu'exprimait son regard, je redescendis vers son sabot, et je sollicitais encore une fois son pied. Je réussis ! Ca va, la sol était propre, les lacunes ... Paf ! Elle reposa son sabot par terre. J'avais compris le problème : si elle ne voulait pas, elle ne faisait pas.

Je soupira et lui dit :

" Bon, demain j'te monte ! "

Et pour clore cette visite, je lui tendis un morceau de carotte bien frais, qu'elle engloutit en un rien de temps. Ses yeux pétillèrent lorsqu'elle mangea la carotte.

Je flatta l'encolure de la jument, et parti, refermant derrière moi les deux loquets.

J'arrivais encore une fois avec mon matos fraichement acheté. Je poussais le loquet et ouvrit doucement la porte, appellant ma jument par son nom. Elle me regarda fixement, ses oreilles bougeant dans tous les sens, ses yeux fixer sur moi. Elle me décriptait. Sans doute se souvenait-elle de moi ? J'approcha doucement, Insigna frappa la surface du sol avec ses sabots et plaqua ses oreilles en arrière. Les lêvres frémissantes. Elle m'avait faire comprendre qu'elle de voulait pas de moi.

Je me redressais un peu plus, montrant que j'étais la dominante, mais elle ne paru vraiment pas impressioné. Je lisais dans son regard qu'elle me trouvait ridicule. Si moche et si impotent. C'est bien un cheval arabe. Racé, capricieux, méprisant et moqueur. J'ouvris mon paquet de bonbon, et lui tendis un morceau de bonbons puor chevaux. Elle tendis son cou, et l'attrapa du bout des lêvres. Je posa le paquet, pris mon licol, et m'approcha d'elle, lui parlant doucement. je passais la longe autour de son encolure et essayait de lui mettre son licol. Peine perdu. Madame refusait obstinément de lui passer le licol autour de son visage et levait systématiquement son encolure pour m'empêcher de le faire. A la fin, elle se leva presque ! Je du renoncer à le lui passer sur la tête.

J'abandonnais donc. Et je pris ensuite l'étrille pour la panser énergiquement. Elle ne voulait pas non plus. Essayant de me mordre, me bousculant, levant le pied parfois puor seul but de m'empêcher de la brosser. J'effectuais quand même mon pansage, la grondant. Pour les pieds ... Je pris en frissonant son pied. Elle se laissa faire, le deuxième, aussi, le troisième idem, j'approchais ensuite de son postérieur, le soulevais, et à cette instant précis PAF ! Elle me donnait un coup de sabot dans le ventre. Pas fort. Mais il me suffit à faire venir les larmes aux yeux. Suffoquant, je m'assis dans le coin du box, regardant Insigna d'un regard haineux. Elle s'en fichait royalement. Elle ne voulait pas donner ses pieds. Elle allait jusqu'au bout de sa volonté.

C'était entre deux souffles que je parvin à prononcer le mot :

" Pet*sse ... "

Pas sympa hein ? Je le sais. Mais cette fois, c'était trop. Marre. J'étais gentille jusque là, maintenant j'essayerais plus d'être sa " copine ". Le dominant ça devrait être moi. Mais là, c'était elle. Je ne la maitrisais pas. Elle n'obéissait que s'il elle en à envie. Et elle n'avait jamais envie d'obéir. A moi en tout cas. Me relevant, la douleur c'était un peu près calmer, je m'approchais